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Cronica de toponimia, per Joan-Claudi Dugros

Souleillal, à Mouzens, le Soulelial à Siorac-en-Périgord (forme ancienne Souleillac), le Soleillal à Campagne : c’est l’occitan solelhal, qui désigne « un lieu exposé au soleil ».

Autres dérivés : Souleillou, au Fleix (occitan solelhós, « ensoleillé ») et peut-être Soulagnieux à Piégut-Pluviers), qui serait, d’après Yves Lavalade un « probable dérivé de l’occitan solana, lieu exposé au soleil. Le vieux français possèdait le mot solaing, le soleil ».

Les Plaines Souleillas à Nabirat, aujourd’hui disparu (forme ancienne au Souleiliard) vient de l’occitan solilhal, variante de solelhal (Peter Nollet).

En Haute-Garonne et en Provence (Var et Bouches-du-Rhône), on trouve les chantants la Souleillane, l’Ensouleïado et L’Ensouleiado.

Soulan, Soula, Sola, Soulane, Soulagne, Solanet, Soulanet, en plus de toponymes, sont des noms de personnes très répandus.

Joan-Claudi Dugros

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