Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

La Mal Coiffée enchante La Coquille

SDC19818.JPGDans le cadre du festival « Les Guitares Vertes » de Thiviers, la salle culturelle de La Coquille accueillait samedi 26 septembre le groupe de polyphonies féminines occitanes« La Mal coiffée », habitué des grandes scènes occitanes comme l'Estivada de Rodez. Devant une salle comble, le groupe féminin a interprété ses chansons occitanes les plus connues ( Lo gat, òu ! los òmes !, La cambra es alandada...)et celles du dernier album « L'embelinaire ». Nous découvrons leur galerie de personnages féminins, Joaneta la gourmande le soir de ses noces, une autre jeune mariée à un vieux barbon qui n'aime pas son chat... Mêlant harmonie des voix, charme, élégance, humour coquin et émotion, elles ont facilement conquis le cœur du public avec lequel elles ont rapidement établi la communication.

Invités par le PNR Périgord-Limousin, quelques élèves de l'option occitan du collège de la Coquille ont eu la possibilité de rencontrer deux des chanteuses du groupe après le concert. Laetitia et Karine se sont aimablement prêtées au jeu des questions.

« Nos sonam Laetitia, Myriam, Marie e Karine e venem de Minervés en Aude o de Tolosa. Ai apres l'occitan a l'ostal, ço-ditz Laetitia, las autras l'an apres per la musica. Lo grope exista dempuei 14 ans. Nòstra formacion es teatrala, musicala mai audiovisuala. Karine es trompetista de jazz. Cantar en occitan es natural per nosautres. Nòstre repertòri es tradicionau mai de las cançons actualas sur dels textes plan polits del poeta Jean-Marie Petit e de las musicas de Laurent Cavalié. Utilizam de las percussions : gròssa caissa, petador, bendir, tamborin, sagatas... Sem desjà vengudas en Perigòrd per una Felibrejada, aqui lo public est plan caloros, coma deser ! ».

Après le concert, la soirée s'est poursuivie par un bal traditionnel avec le groupe « Remonte ton Folk » de Chaleix. Denis Gilabert.

Les commentaires sont fermés.